M arie je pense à toi, au son d’un requie M
O Gabriel Fauré, merci pour cette ari A
R ésonnant en mon cœur. Reste le souveni R
T enace et persistant d’un amour affranch I
E teint à tout jamais, je te hais, Maladi E
U nique tu étais, ma belle Salammb O
N arr’Havas mois j’étais, de ma belle, éperd U
V acances éternelles arrivées au galo P
I mpudique Faucheuse, ô terrible ennemi E
N ’as-tu pas de pitié ? Tu as frappé trop tô T
G rand est mon désarroi, tu me laisses meurtr I
T riste et désemparé, je pleure par dépi T
Q uintet entonnez donc pour elle un dernier lie D
U nissons là nos voix pour petite Mari E
A insi donc va la vie, tu es partie au cie L
T irant ta révérence tu me laisses meurtr I
R ageur inconsolable, de mots je suis à se C
E ffroyables sanglots me viennent, mon ami E
J anvier je te maudis, pourquoi as-tu fais ç A
A celle qui était, pour Egres le naba B
N irvanesque vestale dont il était épri S
V enir ainsi ôter de ma muse la vi E
I nfâme mois d’hiver, je n’ai que du dédai N
E t à cause de toi de noir mon cœur est pein T
R ien ne saura calmer la douleur ressenti E
D ésertique contrée, juste entre chien et lou P
E rrant à l’infini je suis tel Othell O
U lcéré à jamais pour mon amour perd U
X raisons m’assaillent pour enfin en fini R
M ais la vie est un don et si la mort a pri S
I njustement Marie, ayons une pensé E
L aissons aller nos cœurs arrêtons de pleure R
L ibérée, Ptit Délice, princesse de haut ran G
E volue dans les cieux, heureuse et apaisé E
N elly ne pleurons plus, elle n’aimait pas ç A
E coutons-la, rions, portons-la au summu M
U nissons nos prières, même moi le athé E
F aisons tout pour lui plaire, elle est heureuse, enfi N
O Gabriel Fauré, merci pour cette ari A
R ésonnant en mon cœur. Reste le souveni R
T enace et persistant d’un amour affranch I
E teint à tout jamais, je te hais, Maladi E
U nique tu étais, ma belle Salammb O
N arr’Havas mois j’étais, de ma belle, éperd U
V acances éternelles arrivées au galo P
I mpudique Faucheuse, ô terrible ennemi E
N ’as-tu pas de pitié ? Tu as frappé trop tô T
G rand est mon désarroi, tu me laisses meurtr I
T riste et désemparé, je pleure par dépi T
Q uintet entonnez donc pour elle un dernier lie D
U nissons là nos voix pour petite Mari E
A insi donc va la vie, tu es partie au cie L
T irant ta révérence tu me laisses meurtr I
R ageur inconsolable, de mots je suis à se C
E ffroyables sanglots me viennent, mon ami E
J anvier je te maudis, pourquoi as-tu fais ç A
A celle qui était, pour Egres le naba B
N irvanesque vestale dont il était épri S
V enir ainsi ôter de ma muse la vi E
I nfâme mois d’hiver, je n’ai que du dédai N
E t à cause de toi de noir mon cœur est pein T
R ien ne saura calmer la douleur ressenti E
D ésertique contrée, juste entre chien et lou P
E rrant à l’infini je suis tel Othell O
U lcéré à jamais pour mon amour perd U
X raisons m’assaillent pour enfin en fini R
M ais la vie est un don et si la mort a pri S
I njustement Marie, ayons une pensé E
L aissons aller nos cœurs arrêtons de pleure R
L ibérée, Ptit Délice, princesse de haut ran G
E volue dans les cieux, heureuse et apaisé E
N elly ne pleurons plus, elle n’aimait pas ç A
E coutons-la, rions, portons-la au summu M
U nissons nos prières, même moi le athé E
F aisons tout pour lui plaire, elle est heureuse, enfi N